Parfois, il faut savoir assumer ses dossiers, ses boulets…
Et ce n’est pas toujours facile.
Heureusement pour moi, j’ai le Freaky Friday pour les partager avec vous et du coup c’est beaucoup plus drôle.
Restons dans la thématique Back to the Future et retournons, non pas en 1985 mais en 1988.
Avertissement: l’auteur décline toute responsabilité quant aux conséquences que ce post pourrait déclencher. Des effets secondaires ont été constatées type honte subite, fou-rire violent, oreilles qui bourdonnent.
Je vous laisse deux secondes pour digérer. Et revenons un peu sur les paroles.
Pour ceux qui sont encore conscients.
« T’avais les cheveux blonds
Un crocodile sur ton blouson
On s’est connu comme ça
Au soleil, au même endroit
T’avais des yeux d’enfant
Des yeux couleur de l’océan
Moi pour faire le malin
Je chantais en Italien. »
Stop ! Bon jusque là, les paroles sont d’une telle platitude que ça n’a pas réveillé mon chat.
On passe sur le crocodile sur le blouson : non on ne cite pas de marque. Pour aller directement sur la fin.
Le truc c’est qu’ils ne sont pas arrêtés à un titre les Tic & Tac lovers là.
Chanter en italien pour faire les malins, ils l’ont fait.
Ça a l’air de mieux passer comme ça. Mais c’est l’effet italien ça. Les paroles sont du même niveau, croyez-moi… sur paroles.
La mise en scène parle pour moi d’ailleurs.
Années 80 power !
Reprenons notre balade : roulez, roulez mes braves.
« C’que j’ai pensé à toi
Les nuits d’hiver où j’avais froid
J’étais un goéland
En exil de sentiments. »
Arthur’s face s’il vous plaît !
Mon ami Joe La Frite (qui tient à garder l’anonymat pour continuer à faire des jeux de mots approximatifs) a eu ce commentaire plein de lucidité:
« C’est comme Indochine. 30 ans après en étant redevenus sobres, on ne pige toujours pas. »
Je n’ai rien en particulier contre Indochine mais sur le principe : C’est pas faux !
Tronche du goéland quoi ! D’ailleurs mon alter ego diabolique Loulou le Chat…
… Oui je vous ai dit dans le Liebster Award que ma tribu était une ménagerie hétéroclite. Le Cirque Pinder. Je suis Roucky Le Chimpmunk d’ailleurs. Merci Ju la Belette.
… Loulou le Chat, disais-je, a trouvé la vidéo parfaite pour illustrer ce que pouvait évoquer ces vers très… inspirés ?
Ce n’est pas un goéland, je vous l’accorde.
Saluons quand même l’effort d’imagination de ces paroles métaphoriques et concluons en disant que : C’est une licence poétique.
Merci Arthur.
Je ne vais pas tirer sur l’ambulance en entrant dans les détails: la mièvrerie des paroles, les purs looks années 80, la mise en scène digne d’Hélène et les garçons, la montre en or…Naaan…
… Les Nuls ont déjà fait ça très bien.
Je vous ferais remarquer qu’ils ont gardé le goéland…
Non, le point qui me chagrine, outre le goéland, c’est que je n’étais pompette moi en 88.
Non, je n’ai pas commencé l’alcool à 6 ans. Le taux de bêtises débitées n’est pas proportionnel au nombre d’année de consommation d’alcool.
Alors pourquoi j’ai toujours cette fichue chanson coincée dans ma mémoire ?
Cochonnerie de Top 50 !
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