Throwback Thursday (*) Numéro 9. Oui, oui, vous avez bien lu. Ça va, on ne va pas en faire une marmite.Que celui qui n’a jamais péché tout ça… Allez je vous sens frustrés au niveau des persiflages, alors convenons d’un arrangement : sur une échelle de 1 à 9, vous aurez le droit de laisser libre cours à vos moqueries à 10. Je vous laisse méditer là-dessus et que ceux qui ont compris me répondent en commentaires.
En attendant, allons plutôt voir le thème choisi par Bettie Rose Books pour ce 16 mars.
Donc là, carrément, il faut s’auto-dénoncer en place publique. Aujourd’hui dans le Throwback Thursday c’est Confessions Intimes.
Le Livre Jamais chroniqué de June
Il y a bien un personnage dont je vous rebats les oreilles, en long, en large, en travers et même en diagonale. Et pourtant jamais au grand jamais, je ne vous ai chroniqué ses aventures. Ses 60 aventures (56 nouvelles et 4 romans) pour être exacte.
Je sais. Je sais. Mea Culpa. C’est ma faute, ma très grande faute tout ça… Bon ça va ! Ne faites pas ces têtes non plus. On ne va pas en parler jusqu’à demain. Genre vous vous étiez rendus compte que cette chronique manquait ? Vous la cherchiez peut-être ?
De toutes façons, il semblerait que cette erreur soit en passe d’être réparée, grâce à l’aimable invitation de la part d’une copinaute. On en reparlera d’ici quelques temps.
Mais cette réponse était un peu facile et sans originalité. Alors je me dois de vous confesser un autre livre dont je ne vous ai point causé. Et pourtant c’est un livre doudou qui fait partie de ma bibliothèque depuis mes treize ans. Un dont le dernier chapitre m’arrache toujours une larme. Un qui a signé une belle rencontre littéraire. Dans tous les sens du terme, ce livre est une madeleine de Proust, empli de la poésie de l’enfance. Si vous devez n’en lire qu’un de Daniel Picouly, lisez celui-ci. Vous saurez immédiatement si d’autres rendez-vous vous attendent avec cet auteur ou non.
Mon édition est vieille, craquelée. Elle a vécu, a souffert de l’humidité. Pourtant, elle a toujours sa place dans la bibliothèque, car elle me rappelle qu’avant d’être un dragon j’étais une Mohicane et que, moi aussi, j’avais un Champ de Personne.
Le film jamais chroniqué de June
Dead Poets Society. (1989) Réal Peter Weir
Souvent évoqué. Jamais chroniqué. Et pourtant tellement adoré.
En réalité, je pense que j’ai du mal à chroniquer ce qui me touche profondément. A en parler non. A en faire une vraie chronique oui. Sans doute la peur de ne pas trouver les mots comme le démontre l’exemple suivant :
Good Will Hunting. (1998) Réal. Gus Van Sant
Comment chroniquer ce film ? Qu’en dire, sinon qu’il est magnifique ? Et qu’il est impératif de le voir ?
Et ma foi, si vous avez un doute, mieux que mes mots qui n’en diront jamais assez, revoyez-le en mémoire de cet acteur merveilleux qui y fit une si magistrale prestation.
Ou pour ces deux-là qui ont cru si fort à leur rêve …
Happy Throwback Thursday et n’oubliez pas de jeter un oeil à la sélection des autres blogs participants :
- Bettie Rose Books
- La Tête en Claire.
- Alec A la Bibliothèque
- Le Charmant Petit Monstre
- Le Tanuki
- Pause Earl Grey
- Light And Smell
- Pop-corn and Gibberish
- La Tête dans les Livres
- Lady Butterfly
- Fan Actuel
- Le Brocoli de Merlin
- Ibidou
(*) Le principe en est le suivant : chaque semaine, le jeudi donc, notre flamand rose numérique propose un thème pour lequel les blogonautes doivent proposer une lecture correspondante.
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