Je vous avais promis un article sur le Special de Sherlock mais mon estimée collègue et copinaute Yodabor semble avoir lu dans mon esprit (et celui de Bigre girl) tant son article reflète mon ressenti et mes pensées.
Sa conclusion sur le personnage de Mycroft et l’intemporalité de Sherlock est particulièrement fine et juste. Aussi aies-je choisi de partager son article, une façon aussi de vous faire découvrir les blogs sympathiques sur lesquels je me balade.
J’en profite pour saluer au passage les aspects techniques de ce spécial. Ainsi que je le disais en commentaire dudit article, outre le fabuleux travail des maquilleuses et costumières et de notre set designer favori Arwel Wyn Jones (dont c’était l’anniversaire il y a peu)…
Arwel Wyn Jones. Set designer sur Sherlock & Doctor Who. Crédits photo Cumberbatchweb
L’homme qui parlait à l’oreille du papier peint.
… on ne peut que tomber sous le charme de celui fait par Douglas Mackinnon (réal) et Suzie Lavelle (D.O.P). Je trouve d’ailleurs que niveau lumière c’est un des épisodes qui met le plus en valeur le travail du D.O.P.
Source Compte Twitter Douglas Mckinnon
Parlerais-je ici du scénario ? Non. Pour éviter les spoilers déjà. Et puis je refuse de faire ce plaisir à nos deux génies sadiques qui ont trouvé le moyen de nous torturer jusqu’en 2017, at minimum !
J’en profite aussi pour vous dire que cet épisode de Sherlock est en train de faire une sérieuse concurrence à Star Wars au box office asiatique, en particulier en Corée et en Chine. Au Royaume Uni, il a été le programme le plus regardé de la période des fêtes avec 8.4 millions de téléspectateurs.
Je laisse maintenant la parole à Yodabor, car inutile de redire ce qui a déjà été dit avec sagesse et pertinence. Attention cependant, cet article n’est pas spoilers free !