19 décembre : Sherlock

Noël J- 6. Alors qu’on s’approche des fêtes et que se profile une énigme post-réveillon géante (“mais qui a contaminé Mamie ?”), voici quelques éléments pour affûter votre déduction et rechercher les indices. 
Sherlock
série britannique de 4×3 épisodes de 90’, plus un épisode spécial de 90’ entre les S3 et 4. 
Date : 2010-2017. 
Pitch : la modernisation des aventures de Sherlock Holmes, qui se passent désormais au XXIe siècle alors que Watson n’a plus de journal intime mais un blog, et qu’il revient d’Afghanistan. 
Série terminée. 

3,2 bonnes raisons de regarder la série

1. Benedict Cumberbatch. Une diction parfaite, un rôle campé. 
2. Martin Freeman. Parfait aussi dans le rôle de Watson. 
3. Le scénario. Très bien adapté (sauf peut-être en saison 3 où Moffat se met à refaire du Moffat, et cet épisode spécial entre les saisons 3 et 4 qui est la plus grosse arnaque intersidérale de la planète, surpassant le “noooooooooo” de Dark Vador dans l’Épisode III).
   NDLR : L’avantage de la série c’est qu’en tant qu’holmésien, on se régale avec toutes les références au Canon, et en tant que non-holmésien, c’est tellement bien pondu que ça donne envie de lire l’original pour comparer. Mark Gatiss et Steven Moffat étant des fanboys, ça sent l’amour du détail dans chaque scénario.

Le petit bonus en plus : Mark Gatiss. Parfait en Mycroft.
NDLR : Il vous a parlé de Mark Gatiss ?  Mark Gatiss est toujours parfait. 

Le trailer