The Office (US) : bureau en roue libre

Vous avez aimé l’excentricité de Pawnee et ses habitants avec Park and Recreation ? Alors bienvenue à Scranton, Pennsylvanie, pour The Office !

Scranton, siège de la branche locale de la fameuse société de papier Dunder Mifflin, dirigée par le seul et unique Michael Scott.

Imaginez le plus incompétent des boss avec un humour des plus inappropriés, zéro compétence en management et une équipe composée de personnalités pour le moins déroutantes.

Imaginez maintenant que quelqu’un ait l’idée, allez savoir pourquoi, de faire un documentaire sur la vie de ces employés de bureau lambda.

Vous avez le point de départ de The Office !

June, tu plaisantes là ? Tu veux nous faire regarder une série qui traite d’un documentaire sur la vie de bureau d’employés d’une manufacture de papier ?

Oui. Je reconnais que pitché  de cette façon ce n’est pas bien aguicheur. Mais vous allez adorer !

The Office (US) : bureau en roue libre

Inspirée de sa grande soeur britannique créée par Stephen Merchant et Rick Gervais, The Office (US) a été adaptée pour sa version US par Greg Daniels.

Portée par un casting de talent (Steve Carell, Jenna Fisher, John Krazinski, Rainn Wilson, Ed Helms, B.J Novak, Angela Kinsey…), la série a été révélatrice de talents et a fait le bonheur de téléspectateurs durant neuf absurdes et magnifiques saisons, de 2005 à 2013, et 201 épisodes.

Jouant de l’ambiance documentaire, la série est tournée avec une seule caméra, sans public, sans rire enregistré, laissant toute liberté à la fantaisie de son équipe.

Si ce choix original participe à sa singularité, au coeur du succès de la série, il y a ses personnages : le mythique Dwight dévolu corps et âme à l’entreprise, l’insupportable Kelly, la psychorigide Angela et ses chats, l’insondable Kevin, le blasé Stanley, l’impitoyable et si douce Phyllis, l’adorable et romantique Oscar, le psychotique Andy, le sage Darryl, la brûlante Meredith, le mal aimé Toby, le duo farceur Jim-Pam et bien entendu, à la tête de ce bureau, l’incorrigible Michael Scott.

Des personnages que vous allez adorer trouver insupportables et qui vous feront rire aux larmes. Ils finiront par vous manquer à la fin, vous verrez…

Comme pour Park And Recreation, il faut quelques épisodes pour rentrer dans l’ambiance et vous laisser gagner. Mais donnez à la série sa chance de vous séduire, vous n’allez pas le regretter. Ce n’est pas pour rien qu’elle est devenue culte !

Rien n’est jamais prévisible dans The Office. Rien. Jamais. Quand vous pensez avoir franchi un cap, The Office va plus loin à l’épisode suivant. Désopilante, la série multiplie les situations absurdes et déjantées.

Pensez au jour le plus ennuyeux que vous n’ayez pas eu au bureau. Celui qui n’en finit pas et où on entend que les claviers cliqueter. Imaginez maintenant que votre boss ou vos collègues se mettent à faire les trucs les plus inattendus.

Du type…

De suite, le bureau devient un endroit beaucoup intéressant.

Je pourrais vous vendre la série pendant des heures. Vous raconter le côté touchant mais pathétique de Michael à vous être aimé et être cool. Analyser le fait que son personnage va plus loin que ce côté agaçant.

Vous décrire la ferme de betteraves de Dwight, idéale pour un week-end d’Halloween.

Vous parler de l’insondable bêtise de Kevin ou de la naïveté d’Erin. Glisser un mot sur les innombrables farces de Jim, l’évolution de son amitié avec Dwight ou la justesse de sa relation avec Pam dans ses hauts et ses bas.

Argumenter sur l’incroyable inventivité des scénaristes, leur capacité à créer des répliques cultes.

Vous spoiler sur les nombreux guests qui viennent apporter leur touche à ce joyeux bazar.

Cutest scene ever

Franchement je pourrais. Il existe des centaines de gifs, des dizaines de compilations et tout autant de comptes Instagram pour ça.

Mais The Office, ça ne se raconte pas. Cela ne se spoile pas.
Cela se regarde et ça se savoure.

Soit vous tombez complètement sous le charme de son excentricité et de ses personnages un peu (beaucoup ?) dérangés. Soit vous passez votre chemin en vous demandant quel est cet asile de fous.

Je me suis posée la question au début. Pourtant je suis tombée sous le charme.

On a beau trouver certains personnages insupportables (et on adoooore les trouver insupportables) à force de les côtoyer, même les pires finissent par nous toucher en dévoilant leurs failles…
Oui ! Même Michael Scott m’a fait verser ma petite larme.
C’est un subtil équilibre qui fait tout le charme de la série.

Comme je ne veux pas vous laisser comme ça, je vous mets the best of ultime des bloopers de The Office. Pas de spoiler (ou si peu) et beaucoup de fun !

Maintenant vous savez ce qu’il vous reste à faire. Sauf si vous vous appelez Michael Scott.

The Office (US) : à retrouver sur Netflix

Les comptes à suivre pour les accros

A retrouver sur Instagram :
The Office
Office Ladies : podcast par Jenna Fisher & Angela Kinsley, plein de surprises
Dunder Mifflin Bloopers : bêtisier de scènes cultes
That’s what Office said

Enjoy !

Une réponse à « The Office (US) : bureau en roue libre »

  1. Avatar de Petite Plume

    Je ne suis pas sûre d’accrocher au côté excentrique que tu soulignes, mais ton enthousiasme ne peut que donner envie de tenter l’expérience !

    Aimé par 1 personne

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