Le concept du P’tit Bonheur a été imaginé par mon amie Pause Earl Grey. C’est une invitation à relativiser et à se pencher sur tous les petits riens qui nous ont rendus heureux. Une incitation pleine de douceur au bonheur, en considérant les choses positives de la vie, car ainsi que le faisait dire J.K Rowlings à Dumbledore:

“Happiness can be found, even in the darkest of times, if one only remembers to turn on the light.”

Il n’appartient parfois qu’à nous de nous souvenir comment trouver la lumière…

Si Pause Earl Grey a fait le choix de distiller désormais différemment ses Petits Bonheurs, à l’instar de certains, vous pourrez continuer à retrouver ici cette rubrique le vendredi. C’est pour moi une agréable façon de revenir sur la semaine pour en retirer le positif avant le weekend.
Je tiens néanmoins à la remercier encore une fois chaleureusement d’avoir eu l’idée lumineuse de créer cette rubrique. Elle est celle qui a su trouver une façon intelligente de nous rappeler « d’allumer la lumière ».

La semaine a été rude. Franchement. Entre les factures (la facture d’eau avant Noël ça fait toujours plaisir), la banque, le temps, et le Minion qui avait décidé d’accomplir un palmarès personnel niveau bêtises. Vous en connaissez beaucoup vous qui arrivent à se faire coincer deux fois le même petit doigt en moins de dix minutes ? La maîtresse et moi non.

Ceci dit, grande nouvelle il a réussi à finir la semaine sans récolter des lignes de son autre maîtresse, ni en individuel, ni en collectif. Oui elle joue en double catégorie.  Ce qui est en soi un petit miracle, étant donné :

1. Sa capacité incommensurable à partir dans ses univers parallèles dès qu’il s’ennuie et à faire abstraction du monde extérieur.
2. Le fait que cette maîtresse ait décidé d’élever la distribution de lignes au rang de discipline olympique dans toutes les classes où elle passe. Je l’ai personnellement surnommé Lucky Luke. On peut repérer les classes où elle était de service, aux têtes de dépressifs des gamins à la sortie.

Soyons francs, je n’ai rien contre les punitions et les lignes. J’ai même tendance à en rajouter si je trouve que mon élément perturbateur personnel a abusé. Mais là ça vire à l’absurde. L’année va être looongue, je vous le dis.

Bref, pas de punition cette semaine. Je suis hyper fière. Plus qu’un mois avant les vacances de Noël… On peut le faire. Sans punitions. Et sans perdre un doigt. J’y crois.

Je ne sais pas vous, mais chez moi le soleil était en RTT cette semaine. Peut-être que lui aussi a des revendications et soutient les gilets jaunes, je ne sais pas. Il est passé rapidement faire coucou hier, histoire de dire qu’il n’était pas mort. Et là il est déjà reparti en week-end le bâtard.

Donc il a bien fallu se réconforter et lutter contre le froid. Et pour ça, j’ai un remède souverain : le roulé à la cannelle de chez IKEA. Oui les Suèdois, ils ne savent pas faire que des meubles pratiques mais avec des noms bizarres et compliqués à monter. Ils font du bon manger parfois aussi. L’homme ou la femme qui a inventé le roulé à la cannelle a ma reconnaissance éternelle.

Un petit roulé à la cannelle (ou deux, hein) avec une tasse du thé Un Noël à Londres de Damman Frères : l’équilibre parfait et un avant-goût du paradis.

Le seul problème c’est que le Minion vient de découvrir aussi que c’est bon. Il a vivement manifesté son appréciation. On n’a qu’un seul paquet. Je sens que l’homme va devoir rapidement retourner faire un tour chez les Flückeblugs… A 1h30 de route. Pas sûr qu’il soit d’accord.

Allez n’oubliez pas que le bonheur ça n’a pas de prix. Et pour tous les emmerdeurs il y a MasterCard. Prenez soin de vous !