Who you gonna call ?

Ghostbusters ! 

Voilà. Donc tous ceux qui ont bramé la réponse devant leur écran en se marrant:

1° Sont mes amis 😉

2° Se sentent vieux en se rappelant que c’est sorti en 1984.

3° Connaissent le Bibendum Chamallows et sont des geeks.

Ca fleure bon les années 80 et c’est volontairement kitsch à souhait ! Et ça a marqué le cinéma.

Oui Gozer le destructeur c’est culte.

N’en déplaise à certains de mes amis.
Notez que j’ai du mal à le dire sans rire.

De mon point de vue  ce succès tient au fait que c’est une production ( et un casting Bill Murray, Dan Akroyd, Harold Ramis et Sigourney Weaver jeune !) qui ne se prend absolument pas au sérieux. C’est comme Beetlejuice ( réal Tim Burton avec Michael Keaton, Alec Baldwin et Winona Ryder) sorti en 1988.

On est là pour rire et donc on passe directement au second degré parce que même les personnages ne prennent pas les méchants au sérieux. Bref c’est délire, drôle, décalé et parsemé de clins d’oeil .

(Et là, je vais faire plaisir à certains)

Même à Doctor Who parait-il. Oui bon alors là je ne vais pas me la jouer, celle-là je l’ai apprise aujourd’hui en vérifiant la date de sortie. Selon Wikipédia :

Lors de l’affrontement final, Egon Spengler demande à ses compagnons, d’« inverser la polarité du flux de neutrons »(« Reverse the polarity of the neutron flow » en anglais), reprenant ainsi une des phrases emblématiques de la série britannique Doctor Who.

La classe donc ! 🙂

Outre le second opus sorti en 1989 et les multiples jeux vidéos, le personnage de Mr. Stay Puft ou le Bibendum Chamallow, mascotte de la marque fictive Stay Puft, connait lui-aussi un réel succès. A tel point, qu’il semble que ladite marque fictive ait réellement vu le jour après le film . La preuve : Stay Puft marshmallows

Je vous avoue que je reste très sceptique quand la venue d’un troisième opus porté par un casting féminin. Même d’un autre film. Il y a des fois où un film tient tellement à une époque, à un bon moment de sortie, à une équipe particulière…

Spengler:  Don’t cross the streams.

Venkman : Why ?

Spengler :  It could be bad

Voilà. Pas mieux.

2 réponses à “Who you gonna call ?”

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