Marilyn, les hommes et moi.

Résumé.

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Mosaïc Format B. Format fini : 130x205mm

Editions Mosaic. Parution :août 2016. Prix : 14.90€

Après l’apparition magique d’Audrey Hepburn sur son canapé Chesterfield, Libby Lomax pensait être revenue de tout et avoir enfin trouvé la bonne voie pour mener sa vie professionnelle et sa vie amoureuse. Sauf que voilà ! Conseils d’une idole d’Hollywood ou pas, tout n’est pas aussi rose que sur un tapis rouge. Un an après, nous retrouvons donc Libby qui cherche à faire décoller son affaire de création de bijoux et dont la romance avec le sculptural et célébrissime Dillon O’Hara a tourné court. Et pour couronner le tout, elle est toujours nantie de son insupportable petite sœur, prête à tout pour être sous les feux de la rampe.  Autour d’elle, chacun prend son envol : Son meilleur ami Olly ouvre enfin son restaurant. Nora se marie. Et Libby dans tout ça ? Heureusement un canapé Chesterfield n’est jamais à court de miracle. Et voilà que nue dans un vison blanc, c’est au tour de Marilyn de faire son apparition.

Quoi de mieux que la plus sexy et glamour des idoles d’Hollywood comme colocataire pour mettre un peu de piquant dans votre vie ? Mais Libby devra autant prendre soin de sa fantasque nouvelle amie que celle-ci s’ingénue à prendre soin d’elle, car des rêves plein la tête, Marilyn ignore à quel tragique destin elle est liée.

Mon avis.

Après Audrey Hepburn, la vie et moi, Lucy Holliday nous offre ce nouvel opus des aventures fantastiques et hollywoodiennes de Libby Lomax. Avec un sacré pitch pour une histoire qui ne manque pas de pep’s.

Soyons clairs dès le départ, ce n’est pas ce qu’on appellerait de la grande littérature et cela ne prétend pas l’être. On n’est pas là sur de la réflexion métaphysique, même si au passage on égratigne quelques travers de notre époque voyeuriste et du monde de la célébrité. Mais il n’y a rien d’insipide là-dedans et je ne me suis pas ennuyée une seconde. Bien au contraire. C’est bien écrit, enlevé, on s’amuse énormément. Avec cette héroïne drôle, gaffeuse, maladroite, dénuée de confiance en elle, peu douée pour les relations amoureuses, on est clairement dans la veine de Bridget Jones. Une Bridget Jones à qui, en sus de ses catastrophes personnelles, d’une sœur encombrante, d’une mère qui ne l’est pas moins et d’un père indifférent, il arrive des choses extraordinaires. Comme une star du cinéma nue dans son vison qui apparaît endormie sur le canapé du salon.

Une comédie fraîche et divertissante qui se dévore comme une sucrerie et vous laisse avec le sourire aux lèvres.

Plus de détails dans ma chronique complète sur Les Petits Livres:

Marilyn, les hommes et moi.

3 réponses à “Marilyn, les hommes et moi.”

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