Freaky Friday : Les séances cultes.

Un Freaky Friday un peu spécial puisqu’il vient se coupler avec le Tag des B.O que je vous ai proposé il y a une semaine. J’en profite d’ailleurs pour remercier les élèves assidues Le Bruit du Cinéma et Le Charmant Petit Monstre qui ont déjà rendu leurs copies pour mon plus grand plaisir ; N’hésitez pas à cliquer sur les liens pour les découvrir, en complément de ce Freaky Friday.

Nous voici donc partis pour un numéro dédié aux bandes originales cultes des années 80 et 90 ! Ouvrez les fenêtres, les filles, il va y avoir tournée de beaux gosses et ça va être chaud !

Attachez vos ceintures, faites claquer les strings, la DeLorean est prête à s’élancer et comme dirait Doc (ou Ronald Reagan) : Where we’re going, we don’t need roads ! 

****

The Power of Love (1985)

Rien que de l’écouter, j’ai les Nikes qui s’autolacent ! Bande originale rock et culte pour un film qui ne l’est pas moins et qui se transmet de génération en génération. L’intemporalité du fantasme du voyage dans le temps probablement, mais aussi des personnages et une voiture inoubliables.

Take my breath away (1986)

Après le succès du film, ce slow s’est révélé l’outil ultime pour emballer les filles, n’est-ce-pas messieurs ? Un Tom Cruise à son meilleur qui s’apprête à conquérir Hollywood et fait chavirer les coeurs. Et un joli casting de jeunes étoiles montantes: Meg Ryan, Val Kilmer et Anthony Edwards (Hello Dr Green !). Si le talent de Tom Cruise ne s’est pas démenti avec les années, ce slow me rend un peu nostalgique du jeune premier frais et impétueux qui se révèle alors dans Top Gun.

Time of my life (1987)

D’un beau gosse à l’autre, il n’y a qu’un pas… de danse. En un tour de piste, Patrick Swayze devient un sex-symbol. La maîtrise de cette chorégraphie est une tuerie et Patrick Swayze est époustouflant de grâce et de charme viril.

Unchained Melody (1990)

On retrouve le beau Swayze dans d’autres activités artistiques en 1990 et à nouveau sur cette mélodie, le charme opère. Un souvenir un peu kitsch dans ses effets spéciaux mais triste aussi. On aurait préféré ne pas le voir mourir… du tout.

Pretty Woman (1990)

Outre le sex-appeal de Richard Gere qui apprend au monde entier que les tempes argentées c’est la classe ultime, cette bande originale est synonyme de la plus culte des séquences shopping jamais tournée au cinéma.

En tant que femmes, reines du shopping ou non, on a toutes rêvées d’être traitées ainsi dans une boutique et de pouvoir dépenser une somme totalement obscène en fringues, au moins une fois dans notre vie…

Ghostbusters. (1990)

Changement radical d’ambiance mais une bande son inoubliable. Avec une mention spéciale pour le décor en néon du clip.

Oh Happy Days (1992)

En 1992, Whoopi Goldberg nous convertit dans la bonne humeur à la musique religieuse et aux chorales… Et on en redemande.

Bad Boys (1995)

Une bande originale musclée et virile signée Mark Mancina et une scène culte…

Men in Black. (1997)

En 1997, Will Smith enfile le black suit et remet la musique pour les aliens. Et nous on danse au rythme de cet opus ciné déjanté signé Barry Sonnenfeld. On regrette juste que Tommy Lee Jones n’ait pas fait la chorégraphie du clip. Juste pour rire…

May it be (2001)

Adieu les années 90. En 2001, Enya nous file le frisson avec ce superbe morceau et direction la Nouvelle-Zélande et la Montagne du Destin pour un voyage qui va durer quinze ans. A ce morceau, répond d’une certaine façon, The Last Goobye de Billy Boyd qui clôt l’aventure.

Ainsi s’achève aussi ce Freaky Friday très spécial et hélas, non exhaustif, car sinon cet article n’aurait pas de fin. En espérant que ce voyage musical vous a plu, je vous dis  à la semaine prochaine pour un autre Freaky Friday.

14 réponses à “Freaky Friday : Les séances cultes.”

  1. Bon. Parlons peu (NON), parlons bien.
    Tu pouvais pas t’en empêcher de citer « The Last Goodbye » et de nous donner envie de chialer… (chanson au potentiel lacrymal à égalité avec « Chances » d’Athlete. C’est pas Bigre qui dira la contraire.

    Tout est incontournable et culte en effet !
    Ah Pretty Woman, film rempli de cliché sexistes, comédie romantique par excellence mais ça fonctionne à chaque fois ! On en redemande.
    Patrick Swayze, j’en parle même pas, une légende ! Et pis « Nobody puts baby in the corner! » et c’est tout !

    Aimé par 1 personne

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