Le concept du P’tit Bonheur a été imaginé par mon amie Pause Earl Grey. C’est une invitation à relativiser et à se pencher sur tous les petits riens qui nous ont rendus heureux. Une incitation pleine de douceur au bonheur, en considérant les choses positives de la vie, car ainsi que le faisait dire J.K Rowlings à Dumbledore:
“Happiness can be found, even in the darkest of times, if one only remembers to turn on the light.”
Il n’appartient parfois qu’à nous de nous souvenir comment trouver la lumière.
Aujourd’hui c’est officiellement The End Times. La fin des temps tout bonnement. Et jamais nouvelle ne m’a mise plus en joie. C’est mon bonheur de la semaine et il a été longuement attendu.

Nous sommes le 31 mai et Good Omens est enfin disponible sur Amazon Prime après des mois d’un teasing de folie et d’une campagne de communication à faire passer Game of Thrones pour des débutants.
Pour rappel, il s’agit là de l’adaptation du fantastique et drôlissime roman écrit par Neil Gaiman et Terry Pratchett. Une fable fantasque où un ange et un démon amis malgré eux depuis des millénaires, unissent leurs forces pour empêcher l’Antéchrist de basculer du côté du Mal et donc stopper l’Apocalypse.

Émaillé de références diverses et relevé d’une bonne dose d’humour et de complicité entre ses auteurs, Good Omens est un petit bijou pour lequel il aura fallu attendre de nombreuses années, une promesse et le décès du regretté Terry Pratchett pour voir se concrétiser l’adaptation. Mais Neil Gaiman est un homme de parole et aujourd’hui nous y voilà… Six épisodes pour marquer les derniers jours de ce monde…
Difficile de résister à une telle invitation, avouez … Alors cédez à la tentation, on est fichus de toute façon.

Pour ceux qui possèdent un abonnement Amazon Prime, je rappelle que Prime Video est inclus. Vous n’avez aucune excuse. De toute façon, David Tennant, Michael Sheen, John Hamm, Derek Jacobi, Mark Gatiss, Benedict Cumberbatch, Neil Gaiman au scénario, Douglas Mackinnon (Sherlock, Doctor Who) à la réalisation, vous comptiez vraiment faire la fine bouche ?
En passant, voici quelques conseils avisés de David Arnold, qui signe la musique de la série, pour survivre à la fin du monde.
Comme quoi, le bonheur ça n’a pas de prix, une bonne Apocalypse suffit. Et pour tous les emmerdeurs, il y a MasterCard.

2 réponses à “Le p’tit bonheur #60 : it’s Armaggedon time, baby !”
J’adore ton petit bonheur !!! En te souhaitant de passer de très bons moments devant ces épisodes 😉
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Ouiii je vais me dépêcher de m’y mettre, je voudrais pas risquer le regard de tueur la prochaine fois qu’on se voit si je n’ai pas tout regardé =D
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